Christ de Borja: La restauratrice amatrice veut toucher de l'argent
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Christ de Borja: La restauratrice amatrice veut toucher de l'argent
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CULTURE – L'église qui héberge le fameux tableau fait désormais payer les visiteurs...
On aurait pu croire que Cecilia Giménez se serait fait discrète. Mais non, la «pire restauratrice de l’histoire» qui a tellement fait rire (et consterné) le Web avec sa «restauration» du Christ de Borja, réclame sa part du gâteau dans les revenus que suscite son œuvre.
Car celle-ci rapporte. Comme les touristes affluaient à Borja pour le voir de leurs propres yeux (près de 30.000 en quelques semaines, selon le quotidien espagnol El Correo), la fondation qui gère l’église a décidé de rendre l’accès au tableau payant. Histoire de rentabiliser le massacre de cette restauration, en obtenant de quoi restaurer (réellement cette fois) l’église qui date de XVIème siècle. Un prix symbolique a été fixé à un euro, et la stratégie s’est avérée efficace, car loin d’être découragés, les touristes ont renfloué les caisses de la fondation à hauteur de 2.000 euros en quatre jours seulement. «Un jour, nous avons même trouvé un billet de cinquante euros dans l’urne» s’étonne le prêtre.
Mais c’était sans compter la témérité de Cecilia Giménez, qui réclame sa part du butin, et a engagé des avocats pour défendre ses droits contre la fondation… Pendant ce temps-là, les descendants du peintre Elias Garcia Martinez lui demandent réparation. Mais elle compte également de nombreux soutiens. Une pétition réclamant que l’«Ecce Homo» soit conservé comme tel a recueilli plus de 20.000 signatures.
Annabelle Laurent
Même mon tyrex, y fait mieux....
CULTURE – L'église qui héberge le fameux tableau fait désormais payer les visiteurs...
On aurait pu croire que Cecilia Giménez se serait fait discrète. Mais non, la «pire restauratrice de l’histoire» qui a tellement fait rire (et consterné) le Web avec sa «restauration» du Christ de Borja, réclame sa part du gâteau dans les revenus que suscite son œuvre.
Car celle-ci rapporte. Comme les touristes affluaient à Borja pour le voir de leurs propres yeux (près de 30.000 en quelques semaines, selon le quotidien espagnol El Correo), la fondation qui gère l’église a décidé de rendre l’accès au tableau payant. Histoire de rentabiliser le massacre de cette restauration, en obtenant de quoi restaurer (réellement cette fois) l’église qui date de XVIème siècle. Un prix symbolique a été fixé à un euro, et la stratégie s’est avérée efficace, car loin d’être découragés, les touristes ont renfloué les caisses de la fondation à hauteur de 2.000 euros en quatre jours seulement. «Un jour, nous avons même trouvé un billet de cinquante euros dans l’urne» s’étonne le prêtre.
Mais c’était sans compter la témérité de Cecilia Giménez, qui réclame sa part du butin, et a engagé des avocats pour défendre ses droits contre la fondation… Pendant ce temps-là, les descendants du peintre Elias Garcia Martinez lui demandent réparation. Mais elle compte également de nombreux soutiens. Une pétition réclamant que l’«Ecce Homo» soit conservé comme tel a recueilli plus de 20.000 signatures.
Annabelle Laurent
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val13- Messages : 2185
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